mercredi 26 février 2014

Eléments du chaos : LE DERNIER DES MOHICANS de Michael Mann (1992)

Eléments du chaos :
LE DERNIER DES MOHICANS
de Michael Mann (1992)

 
Sur le site ABORDAGES, mon texte sur Le Dernier des Mohicans.
 
Des néons fluorescents et néanmoins blafards, une froideur quasi documentaire qui ne fait qu’attiser la fièvre lyrique du récit, des ambiances nocturnes délétères, un cadre urbain ultra moderne, les arêtes tranchantes de la géométrie architecturale contribuant à mettre les êtres à fleur de peau, un questionnement existentiel résolu à coups de flingues, des sonorités saturées qui contribuent à faire peser sur les personnages le ciel orageux des mélancolies dépressives… Tel est le rapide aperçu des qualités stylistiques et morales qu’on peut attacher à l’œuvre du grand Michael Mann.

La suite à cette adresse :

http://eightdayzaweek.blogspot.fr/2012/08/le-dernier-des-mohicans.html

Le fossé entre les livres et la réalité : LA MAISON DU DOCTEUR EDWARDES d'Alfred Hitchcock (1945)

Le fossé entre les livres et la réalité :
LA MAISON DU DOCTEUR EDWARDES
d'Alfred Hitchcock (1945)

 
 
Sur le site ABORDAGES, mon texte sur La Maison du Docteur Edwardes.
 
Impossible, même pas deux minutes, en passant, ne serait-ce que pour plaisanter, d’être objectif devant La Maison du Docteur Edwardes, parce qu’il s’agit là de l’arc boutant – que dis-je, de la clé de voûte – de toute ma cinéphilie (et j’ose croire, de celle de beaucoup d’autres). De la mienne, oui, parce qu’il est vain de se dissimuler derrière un pronom indéfini quand il s’agit de La Maison de Docteur Edwardes, où il n’est question au contraire que du « moi » - et encore vous épargné-je mon surmoi et mon ça.
 
La suite à cette adresse :
 
 
 


dimanche 26 janvier 2014

Tragédie du masque : Les Yeux sans visage de Georges Franju (1960)

Tragédie du masque :

Les Yeux sans visage de Georges Franju

(1960)

 

Sur le site ABORDAGES, mon texte sur Les Yeux sans visage de Franju.

C’est tout d’abord un fantasme hallucinatoire, celui d’un regard désincarné, deux yeux désorbités, sans visage, sans corps, reliés à rien et qui ne savent que voir et non ressentir – la vision réduite à sa plus simple expression – un fantasme purement cinématographique rappelant le point de vue anonyme de la caméra.

A suivre à cette adresse :
http://eightdayzaweek.blogspot.fr/search/label/Franju