Le fossé entre les livres et la réalité :
LA MAISON DU DOCTEUR EDWARDES
d'Alfred Hitchcock (1945)
Sur le site ABORDAGES, mon texte sur La Maison du Docteur Edwardes.
Impossible, même pas deux minutes, en passant, ne serait-ce que pour plaisanter, d’être objectif devant La Maison du Docteur Edwardes, parce qu’il s’agit là de l’arc boutant – que dis-je, de la clé de voûte – de toute ma cinéphilie (et j’ose croire, de celle de beaucoup d’autres). De la mienne, oui, parce qu’il est vain de se dissimuler derrière un pronom indéfini quand il s’agit de La Maison de Docteur Edwardes, où il n’est question au contraire que du « moi » - et encore vous épargné-je mon surmoi et mon ça.
La suite à cette adresse :
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